Les techniques au coup et méthodes anglaise

En cours d’élaboration…constante…

La FishTe@m69 s’évertue à tester de multiples méthodes de pêche afin d’améliorer ses connaissances et bénéficier de plus d’efficacité lors de ses sorties ! De plus, la pêche dans des cours d’eau comme le Rhône et la Saône vous demandera beaucoup d’adaptabilité et la variation des méthodes peut être l’arme anti capot ! Encore faut-il les connaitre et savoir s’en servir.

Dans cet article, Pipo et les membres vous proposent modestement de partager leur connaissances et expériences sur les pêches au coup à la grande canne, au quiver tip, au waggler en fixe et en coulissant, au pôle feeder, à la bolognaise et enfin à caler au bouchon plat !!!

Précédemment appelée pêche à la roubaisienne, cette technique est la plus classique et la plus pratiquée. Le principe est simple : une canne à pêche (dont la longueur peut être très variable), une ligne équipée d’un flotteur, de quelques plombs pour l’équilibrage, et d’un hameçon suffisent pour s’initier à la pêche au coup.

Aujourd’hui, deux types de cannes à pêche existent : télescopique ou à emmanchements.
– Que l’on pêche la friture en bordure ou les gros poissons à 13 mètres, la canne à emmanchements permet de s’adapter très rapidement car il suffit d’enlever ou rajouter des brins de canne en fonction du besoin. Les cannes d’un certain niveau de technologie sont d’ailleurs vendues avec des kits de 4 à 6 mètres, interchangeables permettant de remplacer en quelques secondes la tête de la canne et par là même la ligne utilisée.

– Les cannes télescopiques nécessitent d’avoir une longueur de ligne égale à la longueur de la canne. Elles sont donc destinées à des pêches moins éloignées du bord, ou à la recherche de beaux poissons (carpe par exemple) dans des lieux bien spécifiques.

La pêche à la grande canne nécessite, si on la pratique régulièrement, beaucoup de petit matériel, à commencer par de nombreuses lignes. Il faut en effet pouvoir s’adapter à des conditions de pêche très diverses, et le panier d’un pêcheur de compétition peut facilement contenir une centaine de lignes. Celles-ci auront des caractéristiques différentes concernant le diamètre du fil, le poids et la forme des flotteurs, la taille et le nombre de plombs. En fonction de ces différentes caractéristiques, elles seront destinées à telle ou telle pêche, à tel ou tel type de poisson.


Un autre élément est devenu indispensable dans cette technique de pêche : l’élastique intérieur. Il s’est imposé depuis une trentaine d’année, et permet d’amortir l’action du poisson lors du ferrage et de son combat. Bien utilisé, et correctement travaillé, un poisson d’un kg peut être amené à l’épuisette sur un fil d’une résistance de 300g grâce à l’élastique. L’élastique est monté à l’intérieur du scion de la canne, sur un ou plusieurs brins, donnant plus ou moins de réserve de puissance en fonction de sa taille et de sa longueur. Il existe depuis quelques années des élastiques creux destinés principalement aux pêches de gros poissons.


Il y a aussi besoin d’ustensiles divers : seaux pour l’amorce, bourriche, épuisette, panier siège ou souvent maintenant stations de pêche (faisant office de ponton réglable et offrant une multitude de fonctionnalités diverses), repose-kits, fourreau pour les cannes, tamis à amorce, etc…

 


La grande différence avec la technique précédemment décrites est que celle-ci se pratique sans flotteur, ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’indicateur de touche. En effet, c’est le scion (tip) de la canne, spécialement adapté, qui va signaler la touche au pêcheur. Il s’agit d’une pêche en plombée, c’est-à-dire que la base de la ligne repose sur le fond, que ce soit en eau morte ou en rivière, et il faut que le bas de ligne soit immobile.

Pas question de réaliser une coulée. Cette technique s’adresse donc à des poissons se nourrissant uniquement sur le fond, et globalement à des gros poissons : brèmes, tanches, carpes, barbeaux… Un autre intérêt de cette technique, c’est qu’elle permet de pratiquer quelque soient les conditions météo, même par temps très difficile, et quelque soit également la profondeur. La canne utilisée mesure en générale, entre 2,70 m et 4,20 m, à anneaux et munie d’un moulinet garni de fil de 15 à 20 centièmes. Le bas de ligne, relié au corps de la ligne par un ou plusieurs émerillons, doit être assez long (de 50 cm à un mètre).

Le montage doit être immobile sur le fond, et c’est le poids du feeder, sorte de petite cage que l’on garni d’amorce ou d’esche, qui permet de lancer à bonne distance et d’immobiliser la ligne à l’endroit voulu. L’amorçage se réalise donc en garnissant et lançant à plusieurs reprises le feeder, bien qu’il soit évidemment aussi possible de réaliser un amorçage classique en début de pêche. Dans tous les cas, à chaque nouveau lancer, il faut garnir le feeder d’appât, ce qui garanti la présence d’amorce près de l’hameçon en permanence. Il est bien entendu que les lancers, même s’il n’y a pas eu de touche, doivent être renouvelés régulièrement puisque le feeder se vide de son contenu une fois positionné sur le fond.

Le feeder en lui-même peut être en plastique, en métal, ouvert ou fermé (avec des trous permettant aux esches de sortir dans le courant), mais dans tous les cas il doit être plombé (plus ou moins fortement en fonction du lieu de pêche, en moyenne 80 grammes dans le Rhône et la Saône à Lyon) pour pouvoir maintenir le fond. Une fois lancé, il s’agit de tendre la ligne de telle sorte que le scion soit légèrement sous tension. La canne, installée parallèlement à la berge sera alors pêchante, c’est-à-dire que les mouvements du scion indiqueront la touche. Il faudra alors ferrer amplement pour s’assurer la prise. Les scions doivent avoir une bonne sensibilité, mais en fonction des conditions de pêche (étang ou rivière profonde et courante), il faudra veiller à adapter cette sensibilité. Une canne au feeder peut être équipée de différents scions, plus ou moins sensibles et plus ou moins forts. C’est en jouant sur ces scions et sur le poids du feeder que l’on va s’adapter aux conditions de pêche du lieu. Pour parfaitement distinguer les touches, il convient d’utiliser un repose canne, installé le long de la berge, et permettant de placer la canne bien parallèle à celle-ci. Cette technique de pêche nécessite, plus que toute autre, une bonne épuisette, car il n’est pas rare de toucher de très gros spécimens en pratiquant de la sorte.

Le choix doit se faire plutôt par rapport au lieu de pêche qu’au type de poisson recherché. C’est bien le poids du feeder à lancer qui sera déterminant dans le choix de la puissance de la canne et non la taille des poissons recherchés. Il est par exemple possible de rechercher de gros poissons en plan d’eau avec un tout petit feeder discret, et donc il faudra dans ce cas utiliser une canne sensible et d’une puissance moyenne. Par contre, il arrive qu’il faille aller chercher très loin des poissons de petite taille. Dans ce cas il faudra opter pour une canne plus puissante, capable de projeter un feeder lourd, tout en l’équipant d’un scion sensible.

 


Cette technique permet d’aller chercher le poisson à grande distance. Plutôt qu’un nombre de prises, il s’agit souvent de sélectionner des poissons plus gros, ceux-ci se tenant plus volontiers au large.

La pêche à l’anglaise se pratique avec une canne de 3,90 m à 4,20 m, équipée d’une douzaine d’anneaux, et un moulinet garni de fil généralement de 14 à 18 ou 20 centièmes. Elle est particulièrement indiquée en plan d’eau ou rivière lente, pour des pêches allant de 20 à 40 mètres du bord.

Les principes du montage de la ligne sont les mêmes que pour la pêche à la grande canne, puisqu’il s’agit d’équilibrer au plus juste un flotteur devant signaler la touche. Les éléments constituant cette ligne sont par contre spécifiques à cette technique de pêche.

Le fil qui garni le moulinet à raison de 120 à 150 mètres doit avoir comme caractéristique de couler. Il est en effet indispensable de noyer toute la longueur de fil comprise entre le flotteur et la pointe de la canne, au risque de voir cette bannière dériver en surface, poussée par le vent, et entraîner la ligne loin du coup. On utilise donc un fil spécial anglaise, qui sera régulièrement dégraissé sur la bobine du moulinet pour faciliter son enfoncement dans l’eau.

Le bas de ligne est généralement relié à la ligne par un mini émerillon limitant les risques de vrillage lors des récupérations successives du fil. L’esche classique pour cette technique de pêche étant l’asticot, ces risques de vrillage du bas de ligne sont importants, car la vitesse de récupération de la ligne provoque une action de rotation très rapide de l’hameçon esché, un peu comme une hélice de bateau.

Le flotteur pour la pêche à l’anglaise est très caractéristique. Le plus utilisé est le waggler, fixé sur la ligne par un seul point, à sa base. Il est fixe pour les pêches où le fond n’excède pas la longueur de la canne, ou coulissant au-delà. Les poids de flotteur sont beaucoup plus importants que pour la pêche à la canne classique puisque c’est ce poids de plomb qui va permettre le lancer. Plus la distance de pêche est grande, plus il faut utiliser un poids de flotteur important. Il n’est pas possible, même avec une canne anglaise puissante de pêcher à 40 mètres avec un flotteur de 3 g. Une pêche à très longue distance peut se pratiquer avec des flotteurs allant jusqu’à 20 g ou plus, mais, s’il est parfaitement équilibré, un tel montage offrira une grande sensibilité et permettra de prendre sans difficulté des poissons même de taille modeste.

La pêche à l’anglaise était encore peu pratiquée il y a une vingtaine d’années en France. Petit à petit elle s’est développée, d’abord dans le milieu de la compétition, puis plus généralement. Les sensations qu’elle procure sont incomparables, tant la défense du poisson est directement transmise au pêcheur par l’action de la canne.

L’apprentissage de cette technique est en outre très facile, du moins pour une pêche en fixe, le coulissant étant un peu plus délicat à utiliser (pour le sondage et le montage). Même si l’on respecte quelques principes simples de répartition des plombs et de méthode de lancer, les risques d’emmêlage sont fréquents sur ce type pêche et il faut être bien réveillé !

 


Technique redoutable qui consiste à pêcher à la grande canne sans moulinet et avec un feeder…. technique « bâtarde » entre le feeder et la grande canne qui sert à pêcher caler en rivière ou fleuve…. Cette technique s’adresse aux gros poissons brèmes, barbeaux principalement mais il n’est pas rare de faire des carpes ou du silure.

Un feeder cage métal ou plastique lesté par le bas et non sur le coté … le lest devra faire environ 20 ou 30 grammes en général c’est suffisant…
Le poids dépend de la profondeur et de la vitesse du courant et accroché au corps de ligne de la canne…. corps de ligne costaud, je n’utilise pas moins de 14 et plus souvent 16/10ème…. que j’attache d’un côté à l’élastique en rapport avec le bas de ligne, en général 12 ou 14/100ème et donc un élastique de 1,2 ou 1,4 mm et de l’autre un émerillon agrafe sur lequel on accroche le feeder et le bas de ligne. Le feeder est attaché par un morceau de power gum… pour amortir le choc du ferrage… de 15 centimètres environ et attaché en 2 points opposés du haut du feeder, le power gum est passé dans l »agrafe et le bas de ligne de 20/25 centimètres aussi… refermez l’agrafe et en avant !!   presque …
Il vous faut passer sur le nylon, 2 bagues silicones dans lesquelles on glissera un témoin de touche…. ce témoin peut être, n’importe quoi !!…  j’utilise une antenne cylindrique de flotteur pour la pêche à l’anglaise de la couleur que vous voyez le mieux… ce témoin n’est pas forcément nécessaire mais plus visible…. je vous expliquerai plus tard pourquoi.
La longueur du corps de ligne est déterminé par la profondeur de l’eau + la longueur de la bannière…50 centimètres environ ou moins mais pas plus. 
Vous sondez …le cage feeder suffit ! Vous réglez votre témoin de touche juste au dessus… oui…au dessus… de la surface de l’eau et… en avant!


C’est partit donc… non pas tout à fait, il vous faut également un collier d’électricien en plastique que vous positionnez autour de la canne environ 15/20 centimètres au dessus du feeder, vous le serrez fermement…. attention de ne pas trop serrer et casser la canne Le morceau qui dépasse, vous le laissez sauf si il est très long, vous le coupez pour n’en laisser que 5/6 centimètres cela suffit. Vous mettez une esche à l’hameçon, vous remplissez le feeder en amorce et autres esches, vous passez le nylon du corps de ligne sur le morceau de plastique qui dépasse du collier, vous baissez le kit, le nylon reste donc plaqué à la canne et le feeder pend du collier, vous emboitez le kit, vous relevez la canne à la verticale ou presque, vous faîtes tourner la canne d’un quart de tour de manière à mettre le morceau de plastique qui dépasse du collier vers l’eau, ce qui a pour effet de libérer le nylon et le feeder, vous baissez la canne et faîtes descendre le feeder au fond et vous posez la canne sur la barre d’amorçage de la station avec le nylon légèrement tendu et donc le témoin de touche qui se trouve au ras de la surface, il n’y a plus qu’à attendre, mains sous la canne, prêt à ferrer au moindre tressaillement du témoin…. et en général, ça fait plus que tressaillir…. ça déménage !…. après le ferrage…. débrouillez-vous !!   

Si au bout de 10 minutes vous n’avez pas de touche, on relève, on recharge le feeder et on recommence et ainsi de suite.

Avantages: Simplicité de mise en œuvre. Pas de coulée, donc pas d’accrochage. Peu de matériel. On pêche juste pile poil sur son amorce. L’esche est parfaitement calée et toute proche de l’amorce. Économie d’amorce et d’esches, la pêche est très ciblée. Pêche active.

Les seuls inconvénients: C’est qu’il faut avoir la canne parfaitement immobile, d’où l’avantage de la station et du bras d’amorçage, si vous n’en possédez pas, vous pouvez poser votre canne sur un piquet avec un support de canne vissé dessus et maintenir le talon de la canne posé sur le siège et coincé entre vos cuisses.

 


C’est le même principe que la pêche à l’anglaise puisqu’il s’agit là aussi d’aller chercher le poisson au large. Mais cette technique est destinée à la pêche en rivière, là où il y a du courant et où les fonds peuvent être importants.

Le principe de base est de pêcher de la même manière qu’à la grande canne, c’est-à-dire de prospecter une coulée en retenant, voir bloquant la ligne pour provoquer la touche, le tout à une distance comprise entre 20 et 50 mètres ou plus.

Pour pratiquer cette pêche il faut s’équiper d’une canne télescopique à anneaux, d’une longueur d’au moins 5 mètres. On en trouve facilement jusqu’à 7 mètres en France, mais les Italiens, spécialistes incontestés de cette technique utilisent des cannes allant parfois jusqu’à 10 mètres.

Le moulinet, garni de fil de 15 à 20 centièmes non coulant, peut être classique ou capoté. La ligne en elle-même, doit être du même type que pour la pêche à la grande canne dans le courant, c’est-à-dire équipée d’un flotteur généralement de 4 à 10 grammes. La différence sur la ligne va se situer au niveau du bas de ligne, qui doit être plus long au moulinet, et rattaché au corps de ligne par un micro émerillon.

Bien sûr on peut pêcher à la bolognaise en eau morte, c’est-à-dire sans courant, tout comme il est possible de pratiquer l’anglaise dans le courant. Toutefois, ces deux techniques sont plus spécialement faciles à mettre en œuvre et rentables dans les conditions que l’on a vu précédemment.

On doit être particulièrement vigilant à l’amorçage pour la pêche à la bolognaise. Il faut en effet bien veiller à préparer son coup en aval du flotteur, la ligne n’étant bien pêchante que lorsqu’on peut freiner ou retenir celle-ci. Les touches sont en général bien marquées, et cette technique permet de toucher de beaux poissons, souvent peu enclin à s’approcher du bord.

Deux écoles existent concernant la manière de constituer la plombée. Soit celle-ci est massive (quelques plombs assez forts ou une olivette plus quelques plombs), soit elle est faite d’une série plus importante de plombs étalés qui permettent d’avoir une ligne plus souple pour des pêches plus délicates. C’est ce montage qu’utilisent plutôt les pêcheurs transalpins qui sont souvent confrontés à des pêches techniques de chevesnes à longue distance.

Dans tous les cas, la pêche à la bolognaise, bien qu’assez peu pratiquée en dehors de la compétition, apporte des sensations extraordinaires puisqu’elle permet de toucher de gros poissons dans le courant.

 


Pour faire bref, le principe de la pêche à caler est de bloquer la ligne toujours au même endroit, au dessus du tapis d’amorce. Pour cela, une station avec bloque-talon et une barre d’amorçage sont très utiles pour placer sa ligne de façon précise.
L’avantage du flotteur plat par rapport à un flotteur boule est sa finesse. En effet, il subit moins la force du courant vu que ce dernier à moins d’appui et aura moins tendance à créer des fausses touches. Malgré ses avantages certains, le flotteur plat est un peu déroutant à équilibrer. C’est en effet le seul flotteur qu’il convient de sur-plomber pour qu’il fonctionne bien en action de pêche. Je m’explique :
– Pour un flotteur classique, on arrête de plomber quand le corps est entièrement sous l’eau mais que l’antenne dépasse. Au pire, on ajuste précisément en fonction des conditions de pêche du jour.
– Pour un plat, il ne faut pas hésiter à noyer l’antenne, en ne laissant dépasser qu’un ou deux millimètre ce celle-ci.  De cette manière, le flotteur, emporté par le courant mais retenu par la ligne à la base de l’antenne, va remonter un peu, à mi-antenne à peu près.  C’est le bon réglage.

Choisir un flotteur plat pour une partie de pêche n’est pas non plus aisé, il convient de faire des tests avant de lancer l’amorçage. Là aussi, c’est l’antenne qui va nous dire si on est bon ou pas. La bonne ligne sera celle ou l’antenne du flotteur sera parfaitement verticale. Et si le courant varie c’est encore pire, il faudra régler la ligne à chaque fois. Un dessin sera plus parlant.

Le flotteur de gauche est trop léger, la masse de plomb est emportée par le courant, le corps du flotteur ressort de l’eau et l’antenne est couchée vers l’amont.

Le flotteur du milieu est parfaitement adapté, l’antenne ressort bien verticalement.

Le flotteur de droite est trop lourd, l’antenne ressort peu et est penchée vers l’aval.

Le flotteur plat a évidemment évolué depuis sa création et des formes différentes sont apparues. En forme classique, on trouve le Rameau Saturno et dans les formes évoluées, le Sensas Stach (pan coupé) ou le Sensas Sebastian (à mi chemin entre la boule et le plat). Les Sensas Bogdan sont également très accessibles et excellents en action de pêche !

Apparu il y a environ 10 ans, ce nouveau type de flotteur est vite passé du statut d’objet farfelu à celui de flotteur indispensable à tout pêcheur en rivière courante. On l’utilisera même en eau close lors des jours venteux.

Le flotteur est constitué d’un corps en balsa de forme circulaire et plat, d’une longue quille en inox pour la stabilité et d’une antenne qui n’est pas dans le prolongement de la quille, comme pour la plupart des autres flotteurs.

On le trouve dans des grammages allant de 0,5 g à parfois 80g. A titre d’exemple, on pêche certaines lônes de Saône comme cela, avec des flotteurs de 40 grammes avec 400 m3/s de débit.

Concernant le sondage, il vous sera plus facile de sonder à l’aide d’un bouchon classique et de reporter le fond désiré. En effet, à moins de bien connaitre ces bouchons et d’accrocher la sonde là ou la ligne touche le fond, il n’est pas aisé de sonder avec ces flotteurs, surtout par courant fort.

Le principal avantage de cette pêche est qu’elle est un bon compromis entre la bolognaise (ou anglaise en fixe) et le pôle feeder. Elle permet de pêcher sur une coulée, par accous fixes, l’avantage des deux autres sans certains inconvénients 🙂


Les informations qui suivent ont étés en partie tirées de Pêche-expert.com que nous approuvons et remercions ici. Le tout étant légèrement adapté. Si nous nous permettons de copier/coller et ré-adapter ces informations, c’est dans le seul but de multiplier leur figuration sur Internet afin de les promouvoir un peut plus. Merci également à http://www.goodrig.fr.


One Response to Les techniques au coup et méthodes anglaise

  1. storme marc dit :

    bonjour à tous pour ma part je peche au swingtip depuis 1980 beaucoup plus sensible qu’avec un feeder j’ai fais des sacrés peches seuls inconvénients le grand vent et le courant fort en plus ils ont arrété la vente voir la fabrication du matos quand quelque chose marche bien on l’arrète

Répondre à storme marc Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

Powered by WordPress and ThemeMag

Accueil | Mentions Légales | CGU_iShare_iNav | Politique_Confidentialite | Remerciements | RSS : s'abonner | Thanks to Cr@zypush